En vacances, oisifs, les hommes, pères de famille, apparaissent torse nu, en tongs et en caleçon ; ils deviennent porteurs de bateaux pneumatiques légers mais encombrants qu’ils promènent sur leur tête le long des chemins des plages. Piroguiers modernes qui rentrent en fin de journée dans leur case climatisée avec leur tribu piailleuse.
Marie ne comprend pas l’utilité d’un chien à part celle de promener son maître à travers la ville.
Elle a l’eau courante : elle n’est pas plus heureuse pour autant.