Dans Trajet d’oubli, il a écrit chaque semaine pendant six mois un texte à partir d’une phrase tirée du Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline.
« C’était une obsession qui empêchait, nous affirmait-on, les meilleurs d’entre nous de respirer, de manger, de copuler. » — Voyage au bout de la nuit
Le projet est une espèce primitive évoluant sur toute la surface du globe depuis une origine ancestrale, et également dans l’espace depuis moins de cinquante ans (d’après Sylvester Bien, évolution planifiée depuis longtemps, en tout cas en ce qui concerne la destination lunaire – S. Bien con Cray, 2003). On estime que le projet descend de la famille des (...)
« Je n’avais pas encore appris qu’il existe deux humanités très différentes, celle des riches et celles des pauvres. » — Voyage au bout de la nuit
Hier, je suis allé chez mon copain (du latin cum « avec » et panis « pain ») Nicolas.
Je n’osais pas trop entrer dans son grand jardin (du latin gardo « clôture »), alors j’ai attendu à la porte (du latin porta « passage »). Il est venu me chercher à la grille (du latin craticula « petit gril ») pour me faire visiter son domaine (du latin dominium « pouvoir, (...)