En réponse à :
1er septembre 2011, par Xavier Garnerin
Bock se leva, se dirigea vers les escaliers, se prit les pieds dans la carpette et tourneboula cul par-dessus tête jusqu’au bas des marches, puis s’affala dans l’entrebâillement d’une porte. Comme une flaque. Comme un ballot. Comme un ballot-flaque. Le matin, c’était un peu tous les jours comme ça.
Il n’était pas dans les habitudes de Bock de se plaindre de sa destinée, pas plus qu’il n’était dans celles de la destinée de se plaindre des habitudes de Bock. Il n’était d’ailleurs pas non plus dans les (...)