En voyage, à travers la fenêtre d’un train, nous voyons toutes ces vies figées par un peintre ou par un photographe, ces vies que nous pouvons mieux voir et mieux comprendre grâce aux questions que leur suspens porte, mieux que si nous les connaissions, étions leur voisin. Je veux parler de ces maisons, jardins, hommes et femmes que nous voyons en un instant qu’eux-mêmes auront bientôt oublié, mais qui pour nous restera peut-être toujours, et qui nous en dit sur la vie plus que nous n’oserons jamais (...)
17 février 2012, par Richard Lebeausale