M. Joachim Séné, pasticheur de littérature reçoit le courrier électronique suivant qu’il nous prie de publier sur notre site :
Monsieur,
Depuis 7 ans, je souffrais du mal des transports ferroviaires aggravé par une coulrophobie et une alexandrite bégayante.
À la lecture de Notre Auber de Hervé le Tellier un mieux sensible s’est manifesté dans mon état ; une application d’un quatrain quotidien de votre Métro ivre m’a ensuite radicalement guérie.
Je précise avoir utilisé la version numérique et (...)
26 janvier 2013, par Franck Garot