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3 novembre 2011, par Sylvie Lainé
Le linceul blanc D’un hiver lent Abandonne La fleur de givre Au carreau ivre Qui s’étonne.
Auprès du feu Mon ventre creux S’engourdit, Tant pis pour celle Qui fut ma belle, Je l’oublie ;
Et je m’endors Bercé par l’or Des tisons, Quand ils crépitent J’entends la fuite Des saisons.