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22 septembre 2011, par MO
Le ciel silencieux au fond de moi plongeait. Soudain, devant mes yeux, l’ombre mystérieuse D’un inconnu surgit. Sa forme harmonieuse Ravive en mon esprit un souvenir que j’ai.
Je m’imagine alors, corps tendu comme un arc, Mon amant d’autrefois, ami de Michel Ange Dont le corps d’ambre blond, et le visage d’ange Me hantent chaque nuit. Je le suis dans le parc.
C’est bien lui ! Quel bonheur ! Mon amour, mon grand maître Va s’élancer vers moi... Mais son trop long silence Résonne comme un glas, terrible (...)