En réponse à :
27 octobre 2011, par Xavier Garnerin
On demandera à Nicolas, dont la prétention n’est que de diriger le pays, ce qu’il pense de la petite cuillère, tout en la produisant obligeamment sous son grand nez obséquieux, et la réponse sera ainsi connue de tous : rien. Nicolas n’en pense rien. On se demandera alors si l’individu pense quelque chose ou dans quels tréfonds s’est égarée la belle page de son discours. Notre homme s’emporte, il aurait attendu d’un possible dirigeant une réponse d’une portée plus ample et d’une attitude plus altière. Pour (...)